Symptômes et remèdes efficaces contre la gonarthrose

Un genou douloureux peut vite devenir handicapant… Parmi les gonalgies, l’arthrose du genou est un mal fréquent.

Peut-être votre genou est atteint de gonarthrose qui peut survenir dès la quarantaine. Cette usure du cartilage rend les flexions / extensions douloureuses. Cela peut avoir été provoqué par un traumatisme tel qu’une fracture ou une rupture des ligaments croisés, mais est aussi souvent lié à une sollicitation excessive. 

 

Symptômes de la gonarthrose ou arthrose du genou

Le genou est une articulation complexe composée du fémur, du tibia et de la rotule reliés par des ligaments et tendons. Cette articulation multiple peut ainsi s’user à différents endroits et engendrer trois types de gonarthrose selon la zone touchée.

Une radiographie du genou favorisera le diagnostic.

Les symptômes évoluent selon la gravité allant d’une simple raideur articulaire au réveil, à de vives douleurs au genou. Le besoin de faire « craquer » son genou est souvent exprimé par les personnes souffrant d’arthrose du genou. Dans certains cas, une déformation ou des gonflements articulaires peuvent apparaître.

 

Pourquoi suis-je atteint(e) d’arthrose du genou ?

Certains facteurs semblent favoriser l’apparition de la gonarthrose comme un IMC élevé. L’âge accentue aussi l’usure naturelle. Les statistiques laissent entendre que les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes.

Enfin, des prédispositions génétiques influençant l’anatomie (désaxation, déséquilibres musculaires), les traumatismes, la sursollicitation (sportive, professionnelle…) ou une maladie inflammatoire ou métabolique semblent des facteurs propices à l’apparition de l’arthrose du genou. 

Soigner l’arthrose du genou

De multiples traitements visent à soulager les douleurs liées à la gonarthrose. Des séances de kinésithérapie permettent une rééducation et peuvent atténuer la douleur. Le port de semelles orthopédiques, de strappings ou d’une genouillère apaise les tensions et renforcent l’articulation. Ce type de dispositif médical rassure également le patient et peut permettre, lorsque l’orthèse est conçue pour cela, de poursuivre l’activité sportive.

Un traitement médicamenteux ou des injections de corticoïdes ou d’acide hyaluronique peuvent aussi apporter un soulagement salutaire.

Dans certains cas, un suivi diététique permettra de réduire l’IMC et d’estomper les causes.

En dernier recours, la chirurgie corrige les désaxations osseuses.

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